Palettes Dreamy de Nabla et Yes Please de Colourpop
Dans le précédent article, j'avais rapidement abordé le sujet de l'achat d'occasion pour les vêtements, un mode de consommation que j'essaie de privilégier au maximum. En effet, l'impact de l'industrie textile sur l'environnement est colossal : ce secteur contribue énormément aux émissions de gaz à effet de serre, beaucoup trop de vêtements sont produits pour finir détruits, et ce dans des conditions de fabrication souvent dramatiques (main d'œuvre sous payée, conditions de travail difficiles et intensives). Un de nos moyens d'action en tant que consommateurs.trices, c'est tout d'abord de limiter les achats, de privilégier les articles de qualité qui dureront plus longtemps et surtout, acheter d'occasion.
Je l'avoue, j'ai encore
beaucoup de vêtements, mais c'était pire avant ! En plus des achats pratiques de
fast fashion, j'ai toujours adoré chercher la perle rare dans les
bric-à-bracs et les
friperies. Mais j'avais encore tendance à préférer la quantité à la qualité, car je me disais que ce n'était pas trop grave car d'occasion et en plus, pas cher. Ce qui fait que je ne me demandais pas si les articles que j'achetais me convenait vraiment, si j'allais vraiment les porter, et s'ils allaient durer longtemps. Je me suis suis donc retrouvée avec UNE TONNE de fringues, des placards qui débordaient, des vêtements qui ne s'accordaient pas, et finalement pas grand-chose à me mettre de satisfaisant (paradoxal !).
Avec la découverte du
minimalisme et de la méthode
Konmari (et oui encore elle), j'ai compris que j'en avais décidément trop, que ça ne me rendait absolument pas heureuse, et qu'il fallait que ça cesse ! J'ai donc entrepris un énorme
tri, j'ai mis de côté tout ce qui était usé, plus à ma taille, plus à mon goût, puis j'en ai donné une partie à mes proches et à Emmaüs, et j'ai vendu le reste, ce qui nous amène au point suivant :
Que faire des vêtements dont on ne veut plus ?